dimanche 24 février 2008
boulot demain !!
samedi 23 février 2008
les vacances se terminent
Nous ferons qq courses et direction Tigre pour voir Douja et faire la connaissance de son ami Sylvain et de leur petit Ianis.
Retour a l’appart’ vers 22h, diner, puis j’accompagne Sonia au bus pour aller à l’aéroport. Les vacances de Sonia en Argentine sont finies … tu peux revenir quand tu veux.
Les miennes aussi sont finies … je retourne au boulot lundi.
Anne et Greg rentrent mardi soir et finiront leur séjour en Argentine par 2 jours sur Bs As. Mercredi soir, spectacle de tango et vendredi matin tôt (4h), ils repartent … vous aussi vous pouvez revenir quand vous voulez.
vendredi 22 février 2008
direction l’aéroport
Au moment de l’embarquement, un affichage attire notre attention, notre vol est retardé (grève des pilotes d’austral)… à 2h40 du matin !!! Wahou ! Ca fait beaucoup d’attente tout ca !!
Mais notre principal problème est que Anne & Grégoire ont un autre vol samedi matin à 6h10 pour leur 2nde destination. Billets d’avion, argent, chargeur de batterie, vêtements propres et appropriés… tout est chez moi.
Avec un retour prévu à 23h30 (Bs As) et un départ à 6h10, nous avions le temps de rentrer à l’appartement (15min de taxi), mais là ce n’est plus possible. Nous envisageons plusieurs scénarii, et finalement Anne & Greg conservent leur sac en bagage à main (on enlèvera les objets interdits qui iront dans mon sac, en soute), Sonia leur prêtera de l’argent, ils prendront mon appareil photo et partiront à Bahia avec leurs vêtements sales !!!
Décollage de Salta à 3h30, atterrissage à Bs As à 5h10, arrivée dans l’aéroport à 5h30. Sonia se charge de récupérer les bagages (le sien et le mien). Nous l’abandonnons et courons tous les 3 : Anne, Greg et moi à travers l’aéroport pour se diriger vers la tableau d’embarquement. Leur vol n’est pas décalé -> porte 5.
Je double tout le monde à un guichet pour montrer les tickets d’embarquement que le Mr de Salta avait eu la gentillesse d’imprimer, pour demander la confirmation de l’heure et de la porte. Tout est ok.
Nous continuons notre course jusqu’à la porte 5 … et je les abandonne, c’est ok ils auront leur vol… OUFFF
Un tel footing à 5h30 du mat’ ce n’est pas facile…avec en plus, peu d’heures de sommeil. Je redescends pour retrouver Sonia et on rentre toutes les 2, bien tranquillement chez moi.
un petit tour de téléphérique
rando sans chaussures !
Pluie, pluie et pluie … pas de chance avec nos randos !!! rando annulée.
J’appelle Aerolineas pour essayer d’avancer notre retour sur Bs As, mais ce n’est pas possible.
Direction Salta, visite du marché artisanal, et comme le soleil fait son apparition, on appelle Ariel pour faire la rando à 14h. Il est ok …
La pluie des dernières heures a bien alimentée le petit torrent que nous traverserons plusieurs fois … en ôtant les chaussures !!
jeudi 21 février 2008
Vamos a San Lorenzo
C’est la grande classe, l’hôtel le plus chic de notre séjour (3* : Selva Montana) : superbe.
Déjeuner puis rando équestre l’après-midi, à 15h. Nous avions prévu 3h, mais la pluie est présente, on raccourcit à 2h.
De retour on réserve avec Ariel (propriétaire des chevaux) pour une rando pédestre (3h) le lendemain à 9h.
quelle poisse !!
Levé tôt pour une journée de marche dans le parc, SAUF qu’il pleut et que cela ne semble pas vouloir s’arrêter !
Direction Calilegua = petit village à 5 kms de Libertador ou se trouve le QG du parc. On les interroge sur la météo, ils sont pessimistes et nous déconseillent une rando trop longue dans le parc : trop dangereux avec la pluie.
mercredi 20 février 2008
Humahuaca -> Libertador
Nous dégusterons notre première glace argentine sur la place du village … enfin 1ère pour Anne & Greg, car Sonia & moi en avons déjà mangés plusieurs.
Nous dînerons dans un ‘boui, boui’ -> record pour le tarif : 40$ pour 4 (milanesa + salade verte et tomate + bière).
Nous aurons plusieurs coupures d’électricité dans la soirée. Je me ferai dévoré pas les moustiques, malgré le off = anti-moustique argentin.
Descente vers Jujuy
mardi 19 février 2008
vino toro !!!
Nous commanderons des pizzas et du vin. Pas de vin dans cette annexe, la municipalité n’a pas autorisé le débit de boisson. La dame nous propose d’aller en acheter à côté. On est ok. Mais Oh, surprise, fou rire quand le vino toro arrive sur la table, il manque la bouteille en verre(6$ le litre). Des francais en Argentine boiront ce vin 'encartonné' !!!
PS : je n'avais pas pris mon appareil photo ... quelle betise ...
Dès que j'ai des photos de France de LA soirée, je vous les mets ... promis ...
direction Humahuaca
lundi 18 février 2008
panne de voiture
On passe Jujuy et on décide de faire notre pique nique à Purmamarca, pour aller visiter les grandes salines l’après-midi. SAUF que environ 25 kms avant Purmamarca, la voiture s’étouffe, l’accelérateur ne répond plus. On s’arrête sur le bas côté et on s’apercoit que de l’essence coule le long de la roue avant droite. On vide la voiture, on s’éloigne un peu. J’appelle l’agence de location pour leur expliquer le problème vers 13h30. Ils se renseignent pour nous envoyer un ‘mécanico’. On profite de la pause pour déjeuner !
Après un certain nombre de coups de fil – ‘Hola, soy Corinne, dondé esta el mecanico ?’ …, on décide à 19h30 de redémarrer la voiture pour finir les 25 derniers kms pour aller jusqu'à Purmamarca. Nous n’avons pas prévu dormir dans la voiture !
Il a de la chance je ne sais pas –encore- m’énerver en espagnol, mais je crois qu’il a compris que je n’étais pas contente !!
La voiture démarre bien, on y va ‘cool’, et on arrive a bon port.
Horacio de l’agence vient de Salta à Purmamarca vers 20h30, avec un mécanicien pour voir ce qui se passe.
Finalement rien de grave, juste un problème d’étouffement, d’altitude et d’oxygène qui se raréfie ! La chaleur ne nous a pas aidé sur ce coup là !!
Bon, peu importe, tout fini bien, enfin presque, car nous avons poireautez 6h pour rien !
Diner et nuit a Purmamarca dans l’hôtel où j’étais allée en septembre. Le monsieur se souvenait de moi – impressionnant, trop fort ! … ou moi inoubliable !!!
dimanche 17 février 2008
Salta a 4
Nous partons tous les 4 : Sonia, Anne, Greg et moi à Salta.
RV taxi à 10h30 pour prendre l’avion à 11h50. Notre taxi est en retard de 15 minutes. Nous ferons un petit bout de chemin le coffre ouvert. On s'arrête pour le fermer quand Anne s’en apercoit et avant de pendre l’autoroute pour éviter de perdre un sac !
On arrive à 11h à l’aéroport = 10 minutes = record battu …super chauffeur.
Atterrissage à Salta, récupération du véhicule et vamos en ville.
Comme d’hab’ : 1er boulot : trouver un endroit pour dormir. On va dans une maison de famille gérée par une charmante mamie. Le seul petit point négatif : pas de déjeuner !
Promenade dans Salta et diner.
J’avoue avoir toujours été chanceuse pour trouver un hotel – jamais plus de 2 établissements visités. Parfait, pourvu que cela dur …
samedi 16 février 2008
Anne et Grégoire arrivent
Retour dans mon palace vers 13h. J’avais chargé Sonia de faire quelques courses. Elle s’en est super bien sortie – petite précision : Sonia ne parle pas du tout l’espagnol ! Bravo.
L’après-midi, nous irons visiter la Boca et le port. Diner viande : bienvenus au pays de la carne.
vendredi 15 février 2008
Douja a Tigre
Nous irons nous promener dans Bs As, et soirée Tango.
jeudi 14 février 2008
fin du 1er périple
sur la route du retour
Nous passerons devant la tombe de Antonio Gil (sans s’y arrêter !).
Antonio Gil = El gauchito.
Un personnage à la Robin des bois, dont le tombeau, installé à la sortie de Mercedes, attire des centaines de milliers de pelerins tous les ans.
Au bord de la route, des autels ornés de drapeaux rouges et d'offrandes lui rendent hommage.
Lorsque l'on passe en voiture devant un autel, la tradition veut que l'on klaxonne, de même on ne passe pas à Mercedes sans s'arrêter... les croyants (aux miracles du Gaucho) diront que c'est pour éviter les obstacles à venir sur la route, ou de ne jamais arriver à destination.
mercredi 13 février 2008
roue crevée
sur terre ...
les trouillards !!!
Le sol est comme une éponge.
On débarque à 10m d’un Yacaré …euh, là m’sieur le guide, t’es sûr ? Pas de problème, ils ne sont pas méchants (pas comme les crocos et les caïmans), soit mais peut être qu’ils courent vite ! Les trouillards !!! oui 2 secondes, mais j’ai confiance, si on débarque sur cette ile, c’est que l’on peut. Et effectivement la bête est inoffensive (en tous cas celle-ci et à cet instant). Nous l’approcherons à 2m, sans qu’elle ne bouge.